Je suis tombé par terre, c’est… parce que j’avais le nez en l’air !
Rp libre
Dans mes histoires, que ce soit celles que j’écris depuis que je suis là ou celles qui étaient déjà dans mon carnet, bien que je sois presque sur les avoir écris moi-même aussi même si je serais bien incapable de dire d’où je les tiens.. dans mes histoires disais je avant d’être si grossièrement interrompu par moi-même, il est presque toujours question de magie. Ici un objet enchanté qui confère des pouvoirs à son porteur, là une créature inconnues qui protège ce qu’il y a de plus beau en ce monde, ici encore une sorcière aux pouvoirs maléfique bien décider à occire le héro. Mais la magie, la vraie, je sais où elle se cache. Oh bien sur, je ne suis pas aussi stupide que les adultes à qui se pouvoir monterait a la tête et qui rêveraient de se l’approprier. À quoi ça servirait ? Ça serait gâcher tout le plaisir. La magie, elle est parfaite parce qu’elle est toujours là où on ne s’y attend pas. Si on pouvait tout contrôler, il n’y aurait plus d’imprévu et donc plus d’aventures… non ? Alors oui, la magie je sais où elle se cache et oui, mes pas me guident un peu trop prés, mais c’est pou les bonnes raisons. Enfin je veux croire qu’on puisse voir les choses comme ça. Je veux juste trouver quelques idées….
Je veux revoir une fée de près. Je veux pouvoir l’observer tranquillement et la dessiner. Une lubie stupide ? Peut être. Un genre de caprice ? C’est possible. Mais qu’est ce que ça change ? Il est trop tard pour faire demi tour de toutes façons. Maintenant que je suis là, je vais pas lâcher bêtement l’affaire. Je ne rentrerais pas sans un dessin, c’est décidé, point final. Seulement.. pour arriver à voir une fée convenablement, il faudra déjà que j’arrive à me concentrer. Parce que très honnêtement, ça va bien faire vingt minutes que je marche le nez en l’air sans faire vraiment attention, ou plutôt en essayant de faire attention à tout en même temps.
Et c’est justement le nez en l’air que je finis par oublier de regarde le plus important : là où je mets les pieds. Un terrain un peu glissant, un appuis mal choisit, un petit dénivelé imprévu.. et me voila les quatre fers en l’air en train de dévaler le dit dénivelé sur le postérieur. « Aoutch ! » Premier reflexe une fois arrivé en bout de course, vérifier mes poignets. Le reste je m’en moque, mais si je me retrouvais incapable d’écrire, même pour un temps limité… ouf, tout va bien de ce coté là, quelques égratignures à peine. Ensuite mon sac. Mon flacon d’encre n’a rien, j’ai évité le pire. En revanche, les bâtonnets de plombagine que j’utilise pour dessiner sont brisés. Tant pis, les morceaux fonctionneront quand même. Je pivote rapidement pour me retrouver à quatre pattes et me relever mais à peine debout, je me laisse retomber aussitôt en me mordant la lèvre pour ne pas crier. Il manquait plus que ça.
Un coup d’œil à ma cheville et je suis rapidement fixé. Je sais pas ce que je me suis fait, mais même si j’ai pas franchement mal tant que je bouge pas ou que j’y touche pas, je suis incapable de prendre appuis dessus. Ici, au milieu de nulle part.. il fallait vraiment qu’il m’arrive un truc pareil ?
Dernière édition par Nikolaï le Mar 24 Nov 2015 - 12:40, édité 1 fois
Un tambour battait à l'intérieur de lui en disant : "Mourir sera une terriblement grande aventure." ▬ J.M.BARRIE
Voilà déjà quelques jours que Peter est arrivé à l'arbre du pendu, un endroit qu'il avait rêvé bien des fois sans vraiment savoir pourquoi ni comment l'éviter. Il rêvait souvent du Pays Imaginaire, sa vie n'était pas suffisamment pleine d'aventures a-t-il fini par comprendre. Après son réveil et avoir enfilé les vêtements confectionnés par Clochette (car bon, les vêtements londoniens.. ne couvrent plus rien) Peter eu la bonne idée d'aller voir le Pipeau, un nouvel ami à lui. Une fois sur place le p'tit gars lui tendit une de ces dernières créations ; une flûte de Pan, qui elle, n'était pas confectionnée dans le bois qu'il manipule habituellement. Peter avait fait l'éloge de son talent de musicien plus tôt, c'est donc un cadeau de bienvenue assez sympathique.
Accompagné de Clochette, sa journée n'allait se résumer qu'à une seule chose - visiter les coins et recoins de ce magnifique endroit. Clo, tu connais un endroit où on pourrait parler ? Remuant de droite à gauche, Peter comprit qu'il n'avait plus qu'à la suivre. Glissant son instrument contre ses lippes charnues, il commence à souffler tout en suivant la boule de lumière blanche. Les notes n'étaient pas jolies, le morveux jugea donc qu'il valait mieux attendre d'être arrivé. Une fois au bout d'une course parsemée de pièges, les deux amis trouvèrent refuge près du grand Saule Sacré. Je vivais ici, il y a quelques années.. C'était ma maison. Ils t'ont bannis.. C'est ça ? Oui.. Tu veux monter Peter ? Bien sûr ! Survolant son enfant, son ami, Clochette parsema tout son corps de poussière dorée. Et hop, de chouettes pensées heureuses et le voilà surplombant le sol. Il fit le tour de l'arbre tout en observant d'un œil attentif les quelques fées présentes avant de prendre place sur l'une des branches. C'est vraiment beau, dit-il lentement. Je suis content d'être ici avec toi. C'est pas vraiment comme dans mes rêves mais bon, je vais faire avec. Tout en parlant, il s'allongea sur la branche, les mains posées derrière sa nuque et les yeux rivés vers les nuages sombres. Même les nuages ne sont plus comme dans mes rêves. Ça change vite, aussi vite qu'un adulte.Hm.. Tu as peut-être raison. Clochette ne semblait pas vraiment d'accord avec Peter, il ne connait pas encore suffisamment le pays imaginaire actuel pour le comparer à celui de ses rêves. Tu sais qu'ici, les enfants s'amusent avec les pirates ? Comme ils sont adultes, ils sont amusants.Amusants ? En quoi les adultes peuvent être amusants ? Ils sont aussi nuls que les filles qui parlent beaucoup trop. Un soupir très léger fait son apparition. Mais comme ils veulent. S'ils veulent s'amuser, je m'amuserais aussi. Toute manière, les vieilles personnes meurent plus rapidement et si on les tue, on risque de s'ennuyer, Peter hausse lentement les épaules, sans pour autant montrer une grande considération au sujet. Alors que Clochette allait lui demander de jouer sa musique favorite, un bruit venant d'en bas fit sursauter le jeune homme qui ne s'y attendait pas. Aoutch ! Observant la scène depuis en haut, le morveux eut un sourire des plus.. taquins.
S'envolant de nouveau pour se retrouver derrière le blessé en question, il ne fit aucun bruit. Sauf un somptueux BOUH qui fit sursauter l'inconnu. L'oiseau ne manqua pas de lâcher un rire enfantin en voyant la tête du pauvre malheureux, avant de se calmer légèrement en comprenant qu'il ne pouvait plus se lever. Toi, tu t'es mangé un truc pour faire une tête comme ça. T'es tombé ? Dit-il tout en s'allongeant dans les airs, les yeux plongés dans ceux du garçon. Glissant légèrement sur le côté, Peter prit en sa possession le sac afin d'y jeter un œil sans le moindre gène. Hop, le carnet glissé dans ses mains. Il essaye de comprendre les choses écrites à l'intérieur mais malheureusement, rien ne vient. C'est ça de ne pas savoir lire. C'est quoi ? C'est vraiment.. moche. Pourquoi tu prends ce truc avec toi ? Tournant les pages, voilà que monsieur touche-à-tout tombe sur quelques dessins. Eh, mais, c'est.. Une fée ? C'est toi qui fais des dessins comme ça ? Ils sont plutôt réussis.. Ses yeux étaient presque émerveillés devant les jolies choses faites par l'inconnu, puis reviennent les bonnes manières. Au fait, moi c'est Peter. J'suis nouveau ici. Au même moment, il rendit le carnet au jeune homme en souriant.
Je suis tombé par terre, c’est… parce que j’avais le nez en l’air !
feat. Peter
Comment est-ce qu eje vais rentrer moi ? Je peux faire un trait sur mes belles idées de journée passée à dessiner. Quoi que je doute d'avoir mieux à faire au final maintenant que me voici immobilisé de la sorte. Enfin non, je ne peux quand même pas rester ici. Il me faudra bien rentrer. Trouver quelque chose pour m'appuyer peut être, un bâton, n'importe quoi. Oui, j v ais faire ça, me trouver une béquille et... je fais un bond, littéralement, pivotant sur moi même pour ramper en arrière en entendant le cris dans mon dos. Ce n'est qu'un gosse ; Il a faillit me tuer de peur cet andouille, qu'est ce qui ne tourne pas ronde chez... une minute... mon regard passe de l’intrus au sol, pour remonter à lui et redescendre... « Comment tu... » J'ai du me cogner la tête en plus de la cheville.
Mais son rire tinte bien trop vrai à mes oreilles pour que ce puisse être une hallucination. Et je reste quoi tandis qu'il continue de parler. Si je suis tombé ? Quelle question idiote ! Je me suis pas fait ça volontairement ça semble pourtant évident. « Hey c’est à moi ! » Voila qu'il fouille dans mes affaires à présent. Et comme je suis cloué au sol, et incapable de me redresser qui plus est, impossible de lui reprendre mon sac des mains. Mais il ne semble pas en avoir grand chose à faire, de mes protestations. Il a sorti mon carnet et se permet quelques remarques désobligeantes qui me font grincer des dents. Ce truc, comme il dit, c'est la seule chose que j'ai, qui plus est s'il aime pas personne ne l'oblige à lire. Pour qui il se prend ce moucheron ?
Je suis en train d'essayer de me relever en prenant appuis sur l'arbre le plus proche quand il reprend. Et cette fois, il semble bien plus intéressé par ce qu'il a sous les yeux. Il change d'avis comme de chemise ma parole ! Pourtant, je me laisse attendrir par l’étincelle au fond de ses yeux devant mes croquis. C’est pour ça que je les remplis ces carnet après tout.. pour qu'ils soient lus, pour que ces histoires soient racontés et ces dessins vu par ce genre de gamin au regard pétillant. Alors quand il me rend mon carnet, j'ai presque envie de lui proposer de le feuilleter encore un peu. Mais je n'en fait rien, pas pour le moment. « Peter hein ? Appelle moi Plume. Et ouai, ces dessins là sont de moi. Merci du compliment... je suppose. »
Et il.. vole toujours. Hors de question de laisser passer un truc pareil. En moins de deux, j'ai tiré deux feuilles volantes de mon sac et les lai posé sur le carnet, un morceau de plombagine dan sla main, prêt à noter. « Qu’est ce que tu fous là-haut ? Comment tu fais ? Tu peux redescendre et redécoller comme tu veux ? » Et c’est mon tour d'avoir de grand yeux brillants d’émerveillement devant ce phénomène. Que je sois en train de délirer à cause du choc ou non, il faut que je rédige un truc là dessus.
Un tambour battait à l'intérieur de lui en disant : "Mourir sera une terriblement grande aventure." ▬ J.M.BARRIE
Peter était intrigué par ce brunet un peu décalé. L'observant toujours dans les airs, ses yeux définissaient exactement ses pensées actuelles ; dessine-moi d'autres fées, tu as du talent. Peter hein ? Appelle moi Plume. Et ouai, ces dessins là sont de moi. Merci du compliment... je suppose. Souriant légèrement en coin suite à la réponse du garçon, il prit la parole. Plume, c'est noté. Tu sais dessiner d'autres choses ? Alors qu'il attendait une réponse, Peter fut surpris de la question lancée à son égard. Qu’est ce que tu fous là-haut ? Comment tu fais ? Tu peux redescendre et redécoller comme tu veux ?De quoi ? Voler ? Bien sûr que je peux redécoller et redescendre comme je veux, je peux même faire bien plus ! En quelques secondes, Peter se propulse une nouvelle fois dans les airs, tournant autour du jeune homme aux yeux brillants. C'est grâce à la poussière de fée. Tu connais pas ? L'oiseau se mit sur le dos, agrippant sa flûte pour la poser contre ses lèvres. Les fées sont pas toutes aussi gentilles que Clo, je vais finir par le croire. Haussant légèrement les épaules, une douce mélodie est venue prendre place. Tournant toujours doucement autour de Plume, Peter comprit après quelques secondes que celui-ci était en train d'écrire toutes les paroles qu'il venait de dire. La gentillesse des fées, voler grâce à de la poussière.. Et un sourire malicieux vient prendre sa place sur les lippes charnues du jeune garçon. Tu veux monter ? Dit-il s'arrêtant net dans sa mélodie.
En voyant les yeux de Plume s'émerveiller d'avantage, Peter lui tendit la main tout en gardant son sourire. Quand Plume la prit, il fit une grimace en repensant à sa blessure.. Tout semblait si parfait jusqu'à maintenant. Peter oublie tout rapidement, il avait déjà oublié ce vilain détail.. Faisant une moue un peu plus déçue, l'oiseau s'enfuit dans la forêt comme un voleur, laissant le pauvre Plume dans la solitude la plus totale et l’incompréhension. Le petit garçon était parti aussi rapidement qu'il était arrivé. Quelques longues minutes après, Peter revint, traînant au sol un lit fait de bois et de grosses feuilles vertes. Arrivant enfin à sa destination finale, il fit tomber le lit au sol posant ensuite ses mains sur sa taille. Tu montes ? Dit-il souriant, on ne peut plus fier de son idée. Aidant ensuite Plume à prendre place, tout en l'attachant pour ne pas qu'il s'envole sans son brancard, le vieux londonien prit Clochette dans ses mains tout en secouant la jolie fée au-dessus du jeune homme et de son nouveau moyen de transport. Peter venait d'inventer le tapis volant des perdus, sympa comme création. Maintenant, faut que tu puisses avoir des pensées heureuses ! Une fois chose faite, Plume prit son envol sans même avoir à souffrir de sa cheville. Il était en train de voler, Peter à ses côtés. Tu aimes dessiner Plume, alors amuse-toi. Une fois en hauteur, on pouvait voir un spectacle bouleversant. Des fées cachées sur les branches, un soleil somptueux dont les rayons caressent la mer..
Je suis tombé par terre, c’est… parce que j’avais le nez en l’air !
feat. Peter
Oui je sais, la curiosité est un vilain défaut. Et alors ? D'autant que vu la démonstration à laquelle j'ai droit, je suis plutôt ravi de l'avoir posée cette question. Le voilà qui virevolte comme un... oiseau ? Papillon ? Truc ? J'en sais rien mais je n'arrive plus à le lâcher des yeux. Il me parle de poussière de fée, d'une certaine... Clo... et moi, j'ai commencé à prendre des notes. Hors de question que je laisse passer un truc pareil. Quand bien même je serais en train de rêver après m’être assommé. Nah.. c'est stupide ça, si je suis en train de rêver, tout ce que je vais noter restera dans mon rêve. Tant pis, ça vaut la peine, juste au cas où je sois bien réveillé. Et c'est au rythme de l’étrange mélodie qu'il joue, et qui lui donne des airs d'angelot farfelu, que j'essaye de décrire ce drôle de gamin volant.
Puis vient sa question. Si je veux monter ? « Voler tu veux dire ? » Cette fois, je pense qu'il faudra un miracle pour que j'arrive à refermer la bouche. Avec l'expression d'une truite sortie de l'eau, je le fixe sans vouloir y croire. Seulement, même si je suis toujours appuyé à mon arbre, j'ai bien trop mal pour pas grimacer quand je prends la main qu'il me tend. Mince alors.. si je peux pas lâcher ce tronc, je peux pas le suivre. Et puis... « Heyyy reviens ! » C’est pas vrai... il m'abandonne tout seul. Tout ça à cause de cette maudite cheville. Je me suis laissé retomber au pied de l'arbre contre lequel je donne un coup de coude rageur. « Zut, me voilà coincé ici.. et sans avoir pu décoller en plus. » Moi, bouder ? Je sais pas. Bouder qui ou quoi de toutes façons, je suis tout seul ici.
Ou peut être pas. Voila mon drôle de papillon sans ailes qui revient. Il a ramené quelque chose, une sorte.. lit en bois ? Quoi, il veut me reloger là vu que je peux pas bouger ? Nah, jamais de la vie. Mais c'était pas ça non plus visiblement. Je rassemble mon bazar et je jette tout en vrac sur le lit avant de m'y asseoir avec son aide. Je sais pas vraiment ce qu'il a en tête, mais là, comme ça, j'ai envie de lui faire confiance. En fait, je crois que l'idée de pouvoir voler, ne serait-ce que d'un mètre au dessus du sol... ouai, y a pas à dire, j'en perds toute envie de réfléchir à autre chose. Je sais pas trop ce qu'il trafique, à virevolter au dessus moi, mais mon nez n’apprécie pas. Mince, c’est pire que si j'étais enfermé dans un placard avec un chat ! Un éternuement, deux, trois. Il me donne ses consignes mais j'avoue avoir un peu de mal à me concentrer.
Un truc heureux... je sais pas moi.. ah si … j'imagine les regards émerveillés de mes p'tits frères et sœurs quand je leur lirais ce que je vais écrire sur cette journée. Nouvel éternuement mais cette fois.. y a quelque chose qui ne va pas. Le lit.. tangue ? Et quand je rouvre les yeux, je pousse un cri de surprise en découvrant le sol à quelques mètres en dessous de nous. « Mince alors ! » Agrippé au lit, je n'ose pas desserrer mes doigts, il m'a arrimé dessus certes, mais.. je serais bien incapable de dire si c'est moi ou le meuble qui vole alors je préfère ne pas tenter le diable. Aussi quand il me propose d'en profiter pour dessiner, je lâche un ricanement nerveux. « Je suis pas sur que... tu crois que je peux ? » Parce que faut bien avouer que c’est pas l'envie qui m'en manque. Alors quand il me rassure à ce propos, je lâche lentement ma prise pour sortir de quoi croquer la vision fabuleuse que j'ai de mon perchoir.
Seulement voilà... par quoi commencer... la mer et l'horizon ? La cime des arbre ? La ville au loin ? Lui ? Oui peut être. Mais au fait ! « Hey mais... j'y pense... je peux pas faire un dessin sans une histoire qui va avec. Sinon ce serait un livre d'images, pas un livre de contes. Il va falloir que tu m'expliques comment tu fais ça, comment t'as pu me faire décoller. La poussière de fée, c'est bien beau mais je veux comprendre comment ça marche ! » allons, allons Plume, tu t'emballes un peu vite. Où est la magie dans tout ça si tu connais le truc. Oh et puis tant pis, je veux savoir. « D'où tu la sors ta poussière de fée en plus ? Ça doit pas se trouver n'importe où ça je pari. Surtout si c'est.. si simple au final. »