« Je pensais aussi que tu pouvais m'aider ». Suite à cette remarque, le chasseur ne put s'empêcher d'esquisser un sourire. Un rictus simple, à peine perceptible au coin de ses lèvres, mais tout de même présent. Signe de son amusement face à la situation pourtant compliquée qui s'agrandit légèrement à la vue de l'éclat de joie de sa fée, avant de disparaître presque aussitôt. Puis il redevient sérieux. Il parle des sentiments qu'il éprouve pour la jolie blonde. Il s'ouvre comme jamais auparavant. Il enchaîne les révélations sans même y penser, impulsivement. Il sort tout d'un trait, pour ne pas se laisser le temps de rebrousser chemin et ce n'est qu'au moment où il prononce ses derniers mots qu'il réalise à quel point il se sentait mieux. Faire preuve d'autant de franchise s'était avéré libérateur pour lui. Il aurait pu le regretter, mais la réaction de sa belle l'en empêcha. Voir le rouge lui monter aux joues fit croître un sentiment de satisfaction en lui, car il savait ainsi qu'elle était touchée par ses paroles. Qu'il ne s'était pas exprimé en vain. Le rose sur son visage prouvait aussi qu'il ne la laissait pas indifférente.
Mais peut-être avait-elle les mêmes réactions avec Forest? Il serra ses poings encore plus fort, tellement que ses jointures commencèrent à blanchir. Prochaine étape, ses ongles viendraient mordre la chair de ses paumes jusqu'à ce que des gouttelettes de sang s'en échappent. Heureusement, il n'y arriva jamais, puisque Mélusine s'en mêla. Elle vint le calmer, le rassurer comme personne d'autre n'aurait pu le faire. Doucement, sa belle s'empara de ses poings. Elle les déplia lentement, puis noua ses doigts aux siens. Bientôt, sa caresse monta le long de son bras, pour se terminer sur sa nuque. D'un mouvement délicat, elle le força à tourner la tête, puis leurs regards se croisèrent. Tout de suite, Owen se sentit hypnotisé par ses prunelles d'un bleu aussi clair que le ciel. Il était tellement obnubilé, fasciné par ses iris, qu'il laissa sa belle mouvoir sa main comme bon lui semblait. Un instant plus tard, il la serrait dans ses bras, sa paume abimée callée dans le creux de son dos parfait.
Les événements progressaient rapidement. Trop rapidement. Owen, il n'eut pas le temps de protester. De toute façon, il n'en aurait pas eu la force. Leur étreinte se resserra et contre toute attente, ce fut Mélusine qui fit le premier pas. Elle déposa un baiser sur sa joue, qui laissa comme une trace de fraîcheur et de douceur, puis elle colla son front contre le sien. Le chasseur, impuissant, se laisser faire. Il avait envie d'accélérer les choses, de la presser encore plus contre son torse, mais pour l'instant, il tentait de se maîtriser du mieux qu'il le pouvait. Puis sa fée prononça une phrase qui brisa momentanément le charme du moment. Forest. Il poussa un grognement à peine audible. Il allait reprendre la parole, lui reprocher sa naïveté, mais il n'en eut pas le temps. Mélusine accomplit à nouveau un miracle. D'une simple caresse, elle arriva à calmer sa colère. Avant d'enchaîner. Une nouvelle révélation murmurée à quelques centimètres de son visage.
Puis, un geste attendu impatiemment par Owen, Mélusine lui offrit un second baiser. Sur ses lèvres, cette fois. Ses lèvres avaient à peine effleurées les siennes, mais son corps avait été parcouru d'un long frisson. Une sensation nouvelle qui n'équivalait en rien les expériences qu'il avait déjà eu avec d'autres femmes. Mélusine, sa fée... Ce moment, il y avait rêvé à plusieurs reprises. Mais ce désir qu'il ressentait pour elle, il l'avait toujours enfoui au plus profond de lui-même. Jusqu'à aujourd'hui. Sa belle avait peut-être réussit à calmer le monstre en lui, mais elle avait réveillé une bête encore plus monstrueuse. Contrôlé par ses envies, il écouta à peine les supplications de sa fée. Il profita de tous les baisers qu'elle lui donna, mais au bout d'un moment, ça ne suffisait plus. Il l'embrassa de façon plus empressée, avec plus d'ardeur. Sa main, qui reposait toujours sur ses reins, remonta jusqu'à sa nuque, s'emmêlant à nouveau dans ses cheveux. Il en profita pour l'attirer davantage vers lui, pressant ses hanches contre les siennes.
Sans qu'elle puisse protester, il la souleva du sol pour l'asseoir sur la table de travail qui se trouvait derrière eux. Il posa sa main sur sa cuisse. Il la remonta lentement, la glissant presque sous sa robe, tout en continuant de l'embrasser. D'abord sur ses lèvres, puis lentement, ses baisers atteignirent son coup. Puis, sans prévenir, il s'éloigna vivement. En une minute à peine, il avait déjà dépassé les bornes. Il avait cédé à la tentation, chose qu'il s'était promis de ne jamais faire. Pas à elle, pas à sa fée... « Je suis désolé. » Dit-il simplement en se retournant. Il s'apprêtait même à quitter la boutique, lorsqu'il se souvient de sa promesse. Il lui avait dit qu'il ne la quitterait pas tant que la porte ne serait pas réparée, alors il rebroussa chemin en jurant. Mais il resta dos à elle, n'osant pas la regarder après ce qu'il avait fait. « C'est exactement pour ça que je préfère t'éviter. J'ai peur de tout ce que je pourrais faire si je reste trop longtemps près de toi. » Avoua-t-il en regardant obstinément la fenêtre. Toujours cette foutue fenêtre.
Nous voici tous deux dans le même bateau, nous souriant amusés et avec beaucoup de maladresse. Finalement, l'amour peut perturber autant les anciens enfants perdus que ceux qui ne l'ont jamais été. Je finis par sourire et rougir de ses mots. Il se livre à moi et cela me fait relativement plaisir. Mais alors que je le vois se crisper, je m'avance avec douceur et le détends par la douceur de mes mains. Je le caresse avec douceur et envie. Je m'attends à ce qu'il m'arrête, mais je continue, calmant les grognements lorsque je lui parle de Forest. On va laisser de côté certaines choses.
Je suis contre lui, le coeur battant, nous créant cette bulle si plaisante. Je ne veux pas qu'il s'en aille. Je veux qu'il reste avec moi. J'embrasse sa joue puis ... j'approche mes lèvres sur cette bouche si douce, si fine, si plaisante. Les baisers commencèrent par être chaste, puis de plus en plus prononcer, je voulais entrer, entrer dans sa carapace, qu'il me laisse venir à lui. Cela pourrait être trop beau pour être vrai, mais j'y crois et je veux y croire.
C'est alors qu'il accentue nos baisers dans une folle passion qui envahit tout mon être. Je tremble, m'accroche à lui et laisse me transporter. Quelque chose d'indescriptible monte en moi, quelque chose que je n'ai jamais autant ressenti, même avec Forest. Je le veux, je le désire, je veux qu'il me possède. Sa main posée sur mes reins rejoint l'autre. Je ressens un tel désir que je fond dans ses bras, ses caresses tout est si somptueux et exquis. Cette passion qui me dévore les entrailles me rend folle. Soudain, il me prend par les jambes et me soulève, me posant contre la table pour mieux m'embrasser. Ses baisers sont si bouillant. Ses lèvres quittent les miennes et se fondent dans mon cou. Je le prend contre moi, le serre et le griffe lorsqu'il décide de sortir de mes bras.
Je reprend peu à peu mes esprits, le voila près de la porte, dos à moi. Mon coeur finit par se calmer, encore troublé par les événements. Je descends de la table et m'approche de lui. Sans un mot, je le prends dans mes bras et souris, fermant les yeux « Ne le sois pas » dis je « c'était ce que je voulais et ce que je veux ... que tu m'emmènes avec toi et que tu me gardes auprès de toi. Comme avant ... mais en mieux » je souris
Mes mains caressent son torse au dessus de son haut. Je surprends mes envies. Des envies de passion. De chair. Ses lèvres finissent par me manquer. Je me mords la lèvre avant de le lâcher « de toute façon, tu as promis que tu resterais » lui fis je savoir en souriant. J'enlève mes bras et finis par me repositionner devant lui, contre le cadran de la porte de mon atelier « plus tu t'éloignes de moi, plus je viens à toi. Un jour, j'en aurais finis de ce jeu et je ne t'accorderais plus aucun regard et .... je n'ai pas envie de m'éloigner de toi. Depuis le jour où tu m'as envoyé de la boue dans mes cheveux mon coeur t'appelle et te réclame, cesse de me fuir, je t'en supplie » lui demande je une fois encore
Je lui prend sa main et l'attire vers moi me demandant ce qu'il fera ... j'espère qu'il ne me brisera pas ...
Emi Burton
Dernière édition par Melusine Grey le Dim 21 Mai 2017 - 13:43, édité 1 fois
Ses baisers, sa peau douce comme le satin, la chaleur de son corps... Tout, absolument tout chez elle le rendait fou. Il la voulait. Il voulait la sentir encore plus près, ne faire qu'un avec elle. Il voulait la posséder, découvrir chaque parcelle de son corps qui semblait si parfait sous ses caresses. Il en voulait plus, toujours plus, alors il l'embrassait avec ardeur. La passion montait. Ses lèvres lui donnaient une impression d'ivresse. Il sentait l'envie envahir son corps et ses gestes devenaient presque frénétiques. Il avait de plus en plus de mal à résister. Après toutes ces années, il perdait le contrôle. Il était sur le point de se laisser aller complètement. Il laissait ses mains prendre le dessus sur son esprit et pour son plus grand plaisir, Mélusine se laissait faire. Elle semblait même savourer les baisers tout autant que lui. Il pouvait faire tout ce qu'il voulait, tout ce dont il avait envi. Il pouvait...
Non! Ce mot résonna en lui, couvrant tout le reste. Avec violence, il se força à couper court à l'étreinte passionnel. Il s'éloigna d'un bond, puis marcha jusqu'à la porte. Il aurait du la franchir, partir pour ne plus jamais revenir, mais une partie de lui le sommait de rester auprès de sa belle. Et puis, elle n'avait pas tord, il lui avait promis qu'il ne la quitterait pas... « Depuis le jour où tu m'as envoyé de la boue dans mes cheveux mon coeur t'appelle et te réclame, cesse de me fuir, je t'en supplie. » Mélusine, elle jouait avec le feu. Si Owen avait réussi à calmer ses ardeurs cette fois-ci, il n'était pas certain de pouvoir le faire à nouveau. Tout comme elle, il réclamait sa présence, surtout depuis qu'il l'avait revu à la taverne. Ce soir-là, il ne l'oublierait jamais. Il avait été stupéfait de découvrir la femme magnifique qu'elle était devenue. Il avait eu du mal à le croire. La métamorphose l'avait choqué, mais ce n'était rien comparé au désir qu'il s'était surpris à ressentir suite à ces retrouvailles. Comparé à toutes ces nuits qu'il avait passé à rêvé à elle. À sa silhouette qui se pressait contre lui dans le noir. Ses formes qu'y frôlaient sa peau en sueur, ses mains qui le caressaient doucement, remontant lentement le long de sa cuisse... Il n'avait qu'une envie, faire en sorte que ces rêves si doux deviennent enfin réalité. Malgré tous ses efforts, malgré tout ce temps passé à repousser l'animal, la bête en lui, il n'avait qu'une envie, céder enfin à ses pulsions. Et Mélusine qui le suppliait, c'était un véritable supplice. Les barrières qu'il avait érigé avec le temps étaient entrain de s'effondrer une à une, jusqu'à disparaître complètement tandis qu'il se rapprochait de sa fée. Tant pis pour la moral, tant pis pour la raison. Il céda enfin.
D'un mouvement vif, empressé, il franchit les quelques centimètres qui les séparaient. Comme une bête affamée, il se lança sur elle. Ses lèvres rencontrèrent à nouveau les siennes, dans un choc qui provoqua un long frisson dans tous ses membres. Il voulait la posséder là, maintenant. D'une main, il se mit à caresser le creux de ses reins. De l'autre, il agrippa ses cheveux, comme pour l'empêcher de s'éloigner. Puis ses baisers doublèrent en intensité, tandis qu'il promenait ses doigts sur son dos frêle. Il ne voulait pas la lâcher, et il voulait la sentir encore plus près de lui, alors il la souleva à nouveau, puis l'attira jusqu'au fond de l'arrière-boutique, sur le canapé. Il l'y déposa d'un mouvement brusque, qu'il aurait regretté s'il n'aurait pas été aussi pris dans la frénésie du moment. Il la rejoignit sur l'assise, veillant à ne pas l'écraser de son poids en appuyant sa main droite sur le même appui-bras sur lequel la tête de sa fée reposait. Puis il se remit à l'embrasser. Des baisers passionnés, longs et ardents. Son autre paume s'activait sur ses cuisses, remontant dangereusement. Il jouait avec le bas de sa robe, l'écartant pour découvrir sans cesse plus de peau, sans oser se rendre plus haut, sans oser franchir le point de non retour. « Mon coeur te réclâme aussi, mais chaque fois c'est mon corps qui prend le contrôle. Es-tu certaine que c'est ce que tu veux? » Demanda-t-il d'une voix rauque, entre deux baisers.
Tout est allé si vite. Je me suis rapprochée de lui, avec beaucoup de douceur, je sentais qu'il se contrôlait, il était si crispé. Ses poings qui se serrent tandis que je les délie avec douceur, ce visage crispé, cette mâchoire fermée. Je finie par lui déposer un baiser sur la joue puis sur la bouche. Le baiser si chaste qui devint plus prononcé. Mon coeur s'affole, tandis que les bras de l'homme m'enferme dans une étreinte ferme dont je ne souhaiterais jamais ô jamais m'y échapper. Il me soulève et me dépose, tout est si intense, cette pulsion ne se contrôle plus jusqu'à ce qu'il s'enlève, me laissant seule avec moi-même.
Refusant de le voir fuir, je descends de mon perchoir et m'approche de lui. Je le prends contre moi, refuse qu'il s'en aille. Non. Je veux qu'il reste avec moi pour toujours. Je me place devant lui, lui disant clairement ce qui allait se passait SI jamais il continuerait son manège, me privant de le provoquer en disant que j'irais dans les bras de Forest, mais ce serait injuste et horrible de ma part. Je prends sa main, je l'attire vers moi et il termine la marche. Ses lèvres me percutent, ses bras me possèdent, je m'enivre, tremblante, de ses caresses contre mes reins et dans mes cheveux. Je m'enivre de ses lèvres, si bien que ma tête tourne alors que nos baisers sont de plus en plus intense.
Je me raccroche à lui, le prenant dans mes bras. Il m'attire et me pousse contre le canapé, je m'y couche et le regarde venir sur moi et m'embrasser. Mes chaussures tombent, ses mains soulèvent doucement ma robe sans aller plus loin. Je l'aide ensuite à enlever sa chemise et, je prends sa main pour l'attirer contre moi et la sentir sous ma robe, sur mes hanches. Je hoquette, troublée par la situation, la tête qui me tombe, les tempes qui tapent, mon coeur bat comme un fou et j'essaie de reprendre ma respiration tant ce moment est si intense et poussé au vif.
Il rompt le baiser. Ses paroles me vont droit au coeur, je rougis. Je lui prends son visage et me noie das son regard, je souris, émue « Je te veux tout entier. Ton cœur, ton âme, ton corps. Je te veux mien, comme je veux être tienne » lui dis je éprise par un nouveau sentiment au creux de mon coeur « Je t'aime » lui avoue je dans un élan avant de l'embrasser et de me réfugier dans ses bras
La situation avait bien vite dégénérée et pour son plus grand étonnement, ce n'était pas complètement la faute d'Owen. Certes, il n'avait pas su garder le contrôle, mais Mélusine, elle l'avait invitée à le perdre. Il découvrait une autre facette de sa fée. Il savait qu'elle avait une certaine attirance pour l'aventure et le danger, mais pas à ce point. Il ne savait pas non plus que sous son côté un peu enfantin et toujours naïf de fille qui découvre enfin réellement le monde se cachait une femme aussi sure d'elle-même. Ça, ça l'attirait. Bien plus qu'il ne l'aurait voulu. C'était, d'ailleurs, probablement pour cette raison qu'il s'était laissé autant allé. Car si sa belle ne lui en avait pas donné la permission, il aurait fait son possible pour se maîtriser. Il n'aurait pas cédé ce combat après tant d'années. Mais, maintenant qu'il l'avait fait, maintenant qu'il sentait son corps sous le sien, sa peau sur la sienne, il ne le regrettait pas. Peut-être le ferait-il demain matin, en réalisant ce qu'il avait fait, mais pour l'instant, il souhaitait simplement profiter du moment. Alors, lorsque Mélusine l'informa qu'elle le désirait tout autant, il était sur le point de se lancer à nouveau sur elle. Il hésita au dernier moment, lorsqu'elle reprit la parole. Je t'aime... Trois mots. Trois simples mots qui le troublèrent au plus au point. L'amour, il n'était pas certain de savoir ce que c'était. Il ne croyait pas l'avoir ressenti un jour. Mais peut-être que les sentiments que provoquaient sa fée en lui en étaient? Et si toutes ses fois où il avait eu du mal à s'endormir parce qu'il pensait à elle, ce besoin de la protéger et que personne d'autre ne puisse l'approcher étaient de l'amour plutôt qu'un simple désir égoïste? Et si c'était pour cette raison qu'il l'avait fuie si longtemps, tout en cherchant sa compagnie? Parce qu'il avait peur de ce qu'il pouvait ressentir, peur de s'avouer à lui-même à quel point elle était sa faiblesse?
Toutes ces questions le laissèrent perplexe. Il avait du mal à comprendre, maintenant. Mais, il y avait une chose qu'il savait toujours. Mélusine, il souhaitait encore se rapprocher d'elle. Il avait besoin de sentir sa chaleur, surtout maintenant qu'elle avait semé tous ces doutes dans son esprit. Alors, il préféra ignorer ses derniers mots pour l'instant. Lorsqu'il trouverait la réponse, il reviendrait la voir. Il ignora donc son sentiment de culpabilité. Ce ne fut pas trop difficile, vu le désir qui l'habitait. Il se tourna vers Mélusine, puis lui adressa un sourire avant de s'approcher doucement d'elle. Pour une fois, il ne s'empressa pas. Il voulait savourer le moment, alors il déposa un baiser chaste sur les lèvres de sa fée. Il posa ensuite le creux de sa paume contre sa joue tandis que son autre main rejoignait ses cheveux.
HELLOPAINFUL
HRP:
M'ouais, s'pas pire que les posts d'avant, mais j'ai quand même mis sous hide, au cas
J’avais besoin qu’il abaisse les armes pour moi, besoin qu’il arrête d’être sur la defensive, arête qu’il me blesse, qu’il me montre son vrai visage. J’avais besoin, j’ai besoin de le sentir contre moi, près de moi. Je me suis approchée de lui, avec douceur, je l’ai caressé, rassuré, je ne veux pas hurler, ni que nous nous disputons. Je le désire, je le veux rien qu’à moi et lui avoue mes sentiments, tout en l’embrassant avec passion. « Je t'aime » lui avais je dis en me réfugier dans ses bras, ses lèvres.
Son baiser fut d’une douceur qui m’envahie le cœur en un instant. Ses bras m’encerclèrent sans ne me briser ni m’étouffer. Sa paume sur ma joue et son autre main dans mes cheveux me firent fondre instantanément. Nos baisers se firent moins espacés, pus désireux et passionnés. Je tremble dans ses bras, me laisse complètement aller et sens mon cœur exploser dans ma poitrine. Je me laisse diriger vers le canapé et me vois couchée. Il s’approche de moi, s’installe sur moi et son regard me couvrent.