La situation prenait définitivement une tournure inattendue, ton corps frémissait, ton corps réclamait. Tu ne voulais pas que ça s’arrête, tu en voulais plus. Tu étais définitivement incapable de raisonner et sur l’instant tu t’en fichais. Il devait très certainement être dans le même état que toi, retirant son haut, ce qui ne fit que rendre tes mains plus curieuses, glissant sur un torse qui n’était pas celui d’un enfant, mais pas tout à fait celui d’un homme. Tu sursautas lorsqu’il glissa sa main sur ta cuisse, c’était une sensation étrange, la peau était très fine à cet endroit donc c’était très agréable et légèrement chatouilleux. Ton corps était tout simplement perdu dans un frisson sans fin. Ta main vint se placer sur la sienne, celle qu’il avait posée sur ta cuisse, comme pour lui dire que tu ne voulais pas qu’il s’arrête. Tu n’avais pas conscience de certains messages que tu renvoyais avec ce genre de geste, la vérité c’était simplement que tu t’en fichais royalement. De l’image que tu renvoyais, tu n’arrivais pas à te contrôler, tu n’étais plus maitresse de tes actes, non c’était comme si quelqu’un d’autre contrôlait ton corps. Toi, tu profitais juste de l’instant. Alors que tu sentais ses mains s’affairer sur ton corset, tu décidas de l’aider. Il semblait que bien qu’il avait toujours été un grand charmeur, il n’avait jamais été confronté à beaucoup de tenus de ce genre. Bref, tu avais rapidement compris qu’il était un peu en peine, et comme ton cerveau ne réfléchissait pas, que ton corps lui ne réclamait que son corps contre le tient. Tu l’aidas, glissant de manière douce tes doigts sur les lanières du vêtement. D’une certaine manière, tu comprenais sa peine, tu avais mis beaucoup de temps à t’habitué à ce genre de tenu. C’était ta mère adoptive qui voulait que tu ne t’habilles plus comme une enfant perdue, mais plus comme n’importe quel occupant de l’ile. Revenons au sujet, Jarod t’avait simplement regardé, presque avec envie, pendant que tu étais en train de l’aider avec ta robe. Lorsque tu eus fini, il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour qu’il passe ses mains sous ta robe pour te la retirer. Tout ce que tu voulais c’était le sentir contre toi, et il semblait que lui aussi partageait cette envie. Réduire à néant les barrières qui séparé vos corps. Tu l’embrassas à nouveau dans le cou, puis fini sur son torse, tu prenais ton temps. Ta respiration était un peu bruyant, rapide, c’était l’envie qui avait totalement pris le contrôle sur toi. Si vous vouliez être discret, vous étiez loin de l’être. Mais en vérité, c’est que vous n’en aviez rien à faire.
Plus les minutes passaient et plus la situation devenait encore plus chaude. Si si je vous l’assure ! Les deux adolescents prenaient du plaisir sous les caresses et les baisers de l’un l’autre mais ce n’était pas suffisant. Il leur fallait plus, surtout à Jarod qui y avait déjà goûté plus d’une fois contrairement à Millicent, même si c’était peu. Le jeune homme ne pouvait plus du tout se raisonner tellement qu’il prenait plaisir. Et autant que la demoiselle ! Celle-ci mit sa main sur celle qu’il avait posée sur sa cuisse, lui laissant comme message de ne pas s’arrêter et il continua. Quand ce fut elle qui l’embrassa dans le cou, il ferma les yeux pour savourer ce plaisir qu’elle lui procurait. Il tenta de lui retirer sa robe mais il fut confronté à un problème de taille : son corset. Par chance, l’adolescente comprit rapidement et elle l’aida à enlever sa tenue. Il l’avait tout de même regardé avec une certaine pendant qu’elle défaisait les lacets du corset. Si Dieu avait créé les corsets pour rendre fou les hommes ou du moins ici les garçons, il avait réussi son coup !
ça devient chaud de chez chaud !:
Enfin, la délivrance ! Il en restait plus grand-chose comme barrière entre eux. Millicent l’embrassa à nouveau dans le cou avant de s’attaquer au torse du garçon perdu. Fermant les yeux, Jarod poussa des gémissements tellement que c’était bon. Les respirations des deux jeunes gens devenaient plus bruyantes mais ça, ils s’en fichaient complétement. Seul comptait le moment présent ! Mais l’impatience prit le dessus sur le garçon perdu. Il releva la demoiselle, la plaqua contre l’arbre tout en la soulevant, se collant une nouvelle fois contre elle. Il l’embrassa ensuite encore avec plus de passion, faisant balader ses mains un peu partout sur le corps de la jeune fille. Puis, il la souleva à nouveau pour la déposer tout en douceur sur le sol, se plaçant ainsi au-dessus d’elle. Il ne leur restait plus que quelques toutes petites barrières dont Jarod se pressa de retirer. Ils étaient à présent dans le plus simple appareil. Cependant, Jarod n’oublia pas que ça devait être la première fois pour Millicent.
Tu n’avais pas le temps de réagir, tu te retrouvais sur le sol, tendrement posé par Jarod qui finalement prit place au-dessus de toi. Sans un mot, simplement des soupirs et des gémissements, il entreprit de retirer vos derniers vêtements. C’était la première fois que tu te retrouvais nu devant un garçon, et surtout c’était la première fois que tu voyais un nu. Cela ne fit qu’accentuer le rouge sur tes joues. Tu ne pus t’empêcher de te mordre la lèvre inférieur en gémissant alors que tu voyais son regard plonger dans le tient. Tu retiens ton souffle, lâche de légers gémissements, de plus en plus rapprochés. Tu essayais toujours de faire le moins de bruit possible. Tu ne savais pas réellement, tu étais simplement incapable de te contrôler, un énième gémissement et ta part et tu sentais ton désir monter encore d’un cran. Tu n’en pouvais plus. Tu le voulais, lui. Le tester, le découvrir, le dévorer. Tes mains s’accrochaient désespérément dans ses cheveux, tu l’embrassais avec une fugue qui t’était encore inconnue. Tant pis pour la raison. Tu en voulais plus.
Ton corps se crispa quelque peu, laissant échapper un hoquet de douleur. C’était quelque chose qu’on t’avait expliqué, que les premiers instants étaient douloureux. Mais ton souffle prit rapidement la cadence de ses coups, lents, presque tendre. Tu fermais les yeux, essayant de penser à autre chose de la douleur qui avait pris place dans ton bas-ventre. Tes gémissements étaient toujours présents, plaintif et désireux, tu avais mal, mais tu ne voulais pas que ça s’arrête. Puis après quelques coups de reins, Jarod commença à accélérer le rythme, tes mains virent instinctivement se placer sur son dos, accompagnant le mouvement, l’incitant presque à aller plus vite. La douleur commença à se dissiper, tes gémissements se faisaient de plus en plus bruyants, de plus en plus nombreux, laissant même glissé entre tes lèvres son prénom « Jarod ». Tes yeux étaient clos, tu te mordais la lèvre pour te contenir. Alors qu’il t’embrassait et te rendait de plus en plus folle. Tes mains ; qui avait maintenant glissé sur son fessier n’était là que pour lui réclamer davantage.
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Dernière édition par Milicent Castle le Dim 15 Nov 2015 - 16:39, édité 1 fois
Jarod était toujours en train de faire de langoureux va-et-vient en la jeune fille qui semblait être au comble du bonheur bien que ça devait lui faire un peu mal au début. Les mains de Millicent s’accrochaient aux cheveux du garçon perdu tandis qu’ils s’embrassaient avec fougue. L’adolescent continuait, poussait lui aussi des gémissements de plaisir, accélérant lorsqu’il sentit ses mains se positionner sur ses fesses. C’était comme un signe pour lui dire « va plus vite ! » et il se mit à aller plus vite. Jamais de sa vie il n’avait pris autant de plaisir, pas même les autres fois (bien qu’elles ne fussent pas beaucoup en nombre. Deux ou trois fois depuis qu’il était sur cette ile, c’était pas beaucoup). Il se sentait être au septième ciel et il espérait que c’était aussi le cas de sa compagne. Millicent lâcha entre ses lèvres un petit « Jarod », ce qui eut pour effet de faire sourire le garçon. C’était la première fois qu’une fille criait presque son prénom, même si ici c’était presque dans un souffle. Il continua encore et encore, la caressant de partout, l’embrassant sur les lèvres, le cou ou sa poitrine. Si lui, il la rendait folle, elle, elle le rendait complétement fou. A force de bouger comme il le faisait, il était maintenant en sueur mais il n’avait pas envie que ça s’arrête, pas tout de suite. C’était trop bon ! Ils en réclamaient plus chacun de leur côté et Jarod accéléra jusqu’à finir épuisé dans les bras de la jeune fille.
Il resta un petit moment comme ça, allongé sur elle, les yeux fermés et tentant de récupérer son souffle. Mine de rien, c’était tout de même comme du sport ça ! Puis, il s’allongea sur le côté mais il la prit dans ses bras, la gardant tout contre lui. Il rouvrit les yeux pour mieux la regarder. Même nue, elle restait belle. Comment se faisait-il qu’il n’avait jamais vu à quel point elle pouvait être belle ? Ben, tout simplement parce que pour toi, mon petit Jarod, c’était comme une petite sœur lorsque tu l’a rencontrée et on ne craque pas sur sa petite sœur ! Il se mit alors à lui caresser la joue, puis, les cheveux. Il se sentait heureux à ce moment-là ! Mais il savait que ça serait de courte durée car il devait bientôt retourner au campement et elle au village. Cependant, il n’arrivait pas à mettre un mot sur ce qu’il ressentait pour elle. C’était plus que de la simple amitié … Plus que de l’amour fraternel … Oui, c’était ça ! C’était tout bêtement de l’amour mais avec un grand A ! Il réalisa qu’il venait de tomber amoureux d’elle ! Et au fond de lui, il savait que ça allait lui causer des ennuis s’il se mettait à la voir plus souvent mais qu’importe, il n’avait jamais été aussi heureux et ce n’était pas des stupides règles d’enfants perdus qui allaient l’empêcher d’être heureux. Du moins, pour l’instant !
Les yeux clos, tu retenais difficilement tes soupires d’extase, tu te laissais emporté par l’acte, par ce moment si intime que tu partageais avec le garçon qui avait volé ton cœur il y avait déjà plusieurs mois. Tes jambes s’étaient enroulées autour de sa taille, ton bassin accompagnait ses mouvements de plus en plus rapides. Tu avais des bouffés de chaleur, ce n’était pas réellement parfait, ce n’était pas comment tu t’étais imaginé la chose, mais c’était d’une certaine manière un moment magique pour toi. Puis les derniers coups de rein, qui t’arracha tes derniers gémissements, ton corps se cambrait légèrement. Puis ce fut terminé, il resta allongé sur toi, vous repreniez votre souffle. Tu prenais de profondes inspirations, tes mains virent se perdre dans ses cheveux, caressant ton amant qui venait de te faire découvrir une nouvelle chose.
Doucement, il se décala et te prit dans ses bras, deux adolescents nus dans la forêt. D’une certaine manière, c’était une belle scène, même si cela aurait pu simplement être un rêve. Il n’avait pas le droit de connaitre ce genre de chose. Tu te mordis la lèvre, perdue dans ta réflexion, tu savais que la situation était compliquée. Les choses n’étaient pas faciles. Déjà, car tu n’étais plus comme lui, vous vieillissez tous les deux, il était vrai. Mais lui, plus lentement, et il n’avait pas vocation à devenir un adulte. Toi, tu avais désormais une autre vie, tu étais destiné à devenir une femme. Même si pour le moment tu étais entre deux états, tu n’étais plus une enfant et pas tout a fait une femme. Mais tu allais vieillir, c’était certain. Ta réflexion te rendit égoïste, tu aurais aimé lui dire de quitter les enfants perdus, pouvoir le faire venir dans les draps de ta chambre et vivre une vie avec lui. Mais tu ne le ferais pas, tu ne lui demanderais pas ce genre de chose. Tu laissas simplement ton regard se perdre dans le sien. Doucement, tes doigts virent glisser sur ses lèvres. Tu l’embrassas doucement, tu ne cachais pas une certaine tristesse, car tu le savais que vous deviez chacun reprendre une direction opposée alors que tu aurais aimé t’endormir dans ses bras. Tu laissas échapper un petit sourire à son attention. « Je ne pensais pas vivre ce genre d’aventure ce soir. »
C’était la vérité, tu ne t’attendais pas à ce que tout s’emballe aussi rapidement, qu’il te prenne ton premier baiser et dans la même soirée ta chasteté. Mais tu ne regrettais rien, non, c’était lui que ton cœur voulait et personne d’autre. Mais pour le moment tu profitais juste de l’instant, ton regard perdu dans le sien. « Je ne veux pas retourner là-bas, j’aimerais rester ici. » Tu te mordis la langue pour ne pas dire avec toi, même si cela se ressentait. Tu n'étais pas totalement certaine qu'il soit sur la même penser que toi, tu aurais aimé qu'il te dise qu'il viendrait te voir, mais tu préférais pour le moment ne rien dire.
Les deux adolescents étaient là, l’un contre l’autre, nus dans la nuit calme de Neverland. Heureusement, il faisait assez bon, ils ne risquaient pas d’avoir froid. A les regarder, on pourrait être presque attendri car ils étaient vraiment très mignons ensemble mais chacun devait rentrer de son côté. Ça allait être bien compliqué entre eux : lui un garçon perdu qui pourtant s’amusait à des jeux d’adultes si l’on peut dire et elle une ancienne fille perdue qui a choisi de grandir. Difficile donc de vivre une histoire d’amour pour ces deux-là ! Soit Jarod faisait son choix, ce qui n’allait pas être simple pour lui, soit il restait chez les enfants perdus et c’était terminé alors que ça commençait tout juste. Mais connaissant l’oiseau, il allait tenter d’avoir les deux : rester un enfant et garder la fille pour lui !
Le regard plongé dans celui de la jeune fille, il la vit glisser ses doigts sur ses lévres, ce qui lui fit un peu chatouille. Elle l’embrassa ensuite doucement mais il ressentit qu’elle était triste. Ça se voyait dans son regard. Mais elle lui sourit tout de même.
Millie : « Je ne pensais pas vivre ce genre d’aventure ce soir. » - Moi non plus !
Il continua de lui caresser les cheveux tout en la serrant contre lui. Il voulait s’imprégner encore un peu d’elle avant de rentrer. S’il n’était pas sorti, il aurait raté la plus belle nuit de sa vie. Il ne lâcha d’ailleurs pas une seule seconde son regard bleu saphir.
Millie : « Je ne veux pas retourner là-bas, j’aimerais rester ici. » - Ta mère ne va pas s’inquiéter que tu ne sois pas là ? De mon côté, ça me pose pas de problème, j’ai un petit coin secret où je peux me planquer quand Rufio me saoule ! Si tu veux, on peut aller là-bas ?C’est près du lagon des sirènes.
Tu te perdis un instant dans tes pensées, laissant échapper ta réflexion à haute voix « J’espère que ce n’est pas un rêve » tu continuais de plonger ton regard dans le sien, tu l’aimais, c’était tellement évident. À un point, que justement, tu te demandais si tu ne venais pas d’imaginer tout ça, qu’en réalité tu étais dans ton lit et tu ne faisais que dormir. Que rien de tout ça ne soit réel. « Disons que j’aime bien dormir dehors, elle le sait et ne fait pas réellement attention quand je suis pas là. Puis, elle sait que je suis une ancienne enfant perdu, elle m'a accepté dans sa maison mais ce doute bien que je suis encore trop jeune pour être raisonnable. Tant que je suis là pour les repas… Un coin secret ? Tu es toujours autant plein de surprises Jarod ! » À vrai dire, tu étais même un peu étonnée, de ne pas avoir découvert l’existence de ce coin secret quand tu étais encore une enfant perdue, c’était vrai, tu avais tellement suivi Jarod que tu pensais connaitre presque tout de lui, mais il semblait qu’il était plein de ressources. Dans un souffle, tu te redressas lentement, instinctivement tu vins cacher ta poitrine nu avec ton bras. Geste qui trahissait justement le fait que tu étais totalement novice dans ce genre de chose, après tout il t’avait eu nue sous lui, il avait embrassé ta poitrine, mais il restait encore en toi une certaine timidité, tu ne savais pas pourquoi, mais c’était ainsi. Du regard tu cherchais rapidement tes vêtements que tu enfilas, non sans lancer de petit regard à Jarod. « On peut y allée ce soir ? » finalement tu posais ta question une fois vêtu, tu avais simplement tes chaussures dans tes mains, car tu avais toujours affectionnée marché pied nu. Tu te relevas pour finalement attendre sa réponse, passant par la même occasion ta main libre dans tes cheveux afin de retirer les quelques feuilles qui s’étaient glissées dans ta chevelure. Car oui, tu venais de le découvrir, mais fricoter avec un garçon sur le sol, ça laisse des traces. Tu le regardais alors qu’il faisait comme toi remettait ses vêtements sur le dos. Une fois debout, tu ne pouvais pas te retenir de t’approcher de lui. Tu voulais encore l’embrasser, c’était une découverte qui ne te lasser pas : embrasser quelqu’un. Ou plutôt embrasser Jarod. Puis tu reculas de quelque pas, c’était tellement agréable. TU aimais ça, tu l’aimais lui. Et tu rougis à nouveau.